
Elle s’excuse d’avoir les mains jaunies, ces mains qu’elle entremêle régulièrement pour exprimer une idée. Le jaune, c’est la couleur du bouleau et des tagettes qu’elle a employés, la veille, pour un atelier de teinture de laine. Même cardée et blottie dans des petits paniers, la matière duveteuse court partout dans le chalet de Martine Gerber: en pelotes, en tapis en attente sur son grand métier à tisser. VERS L'ARTICLE
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